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Ma rencontre avec la sophrologie

Des petits pas sur le chemin de la sérénité...


Avant de connaitre la sophrologie, j’étais dans un cheminement existentiel tâtonnant. J’ai ainsi exploité différentes pistes :


La lecture 

Je me suis nourrie d’écrits. J’ai essayé de m’inspirer des parcours de vie, des recherches existentielles de gens illustres et d’inconnus. Chaque lecture, chaque témoignage m’apportait, des éléments confortant mes intuitions ou balayant mes certitudes. Bilan : j’ai compris que lire était intéressant mais m’enfermait dans la sphère de la cogitation et ne me faisait pas avancer.

Activité physique

J’ai recherché dans l’effort physique, une confrontation à mes possibilités mais j’ai seulement connu le plaisir de la performance éphémère et superficiel. Une fois mon objectif sportif atteint je redémarrais sur un nouveau défi. Je vivais mon corps dans une logique d’effort et de résultat.


Méditation de pleine conscience

Avec la méditation de pleine conscience, j’ai compris (je pourrai aussi dire senti) que j’avais touché à quelque chose de plus profond, de plus consistant. J’ai pris ainsi conscience que pendant tout ce temps j’avais cherché le bien-être, le mieux-être à l’extérieur de moi alors qu’il suffisait juste de me poser, focaliser mon attention et accueillir « ce qui est ». Pour une fois ne « rien faire » pouvait être apaisant, ressourçant et surtout libérateur. Sauf qu’il manquait quelque chose à mon expérience méditative que je n’arrivais pas à définir car c’était de l’ordre du « ressenti »et non du « réfléchi ».


C’est dans ce contexte d’imprégnation par cette discipline que s’est faite ma rencontre avec la sophrologie.


La sophrologie m’a permis de mixer toutes ces pistes. En m’imprégnant de sa théorie, en expérimentant sa méthode, riche en techniques qui laissent une large place à l’expérience de la pleine conscience et surtout à la prise de conscience du corps, elle m’a offert tout simplement la possibilité d’expérimenter « la vivance ». La sophrologie permet de se sentir en vie. Sentir la vie qu’on porte en soi souvent occultée par l’agitation de notre quotidien.


Lire sur la vie est intéressant, expérimenter la vie qu’on porte en soi est beaucoup plus enrichissant.

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